Rencontre avec Gaël DEFAIS, l’attaquant de l’ES Bouchemaine. Le Bouchemainois évolue avec l’équipe première des Verts, en championnat de Régional 2. Il nous racontera son parcours sportif, reviendra sur la saison actuelle et nous donnera ses objectifs collectifs et personnels. Ensuite, il nous donnera son avis sur son coach et sur ses coéquipiers, ainsi que sur l’ambiance qui règne dans le vestiaire. Enfin, il nous parlera de ses projets et de ses objectifs futurs.

Bonjour Gaël, pouvez-vous, nous faire une petite présentation de vous et de votre parcours sportif, ainsi que votre rôle au sein du club ?

“Je suis né le 17 mai 1991, j’ai débuté le football à l’âge de six ans à l’ES la Pouëze. Je me suis échappé deux ans à l’ES Segré, en catégorie U15, avant de revenir dans mon club de cœur de la Pouëze, auquel je serais resté en tout dix-huit ans. Je suis ensuite passé par l’AS Tiercé-Cheffes, une année en Régional 3 avec comme coach Alban Gaborit, que j’ai suivi à l’ES Bouchemaine, l’an dernier. Je joue à l’ES Bouchemaine au poste d’attaquant.”

Que pouvez-vous nous dire sur votre saison actuelle, sur les points positifs et sur ceux à améliorer en vue d’atteindre les objectifs fixés en fin de saison ?

“Nous sommes actuellement dans la partie haute du tableau. Pour une première saison au niveau Régional 2, c’est quand même bien, mais je sais que l’on peut encore faire mieux et pourquoi ne pas aller chercher l’une des trois premières places du classement. Nous sommes aussi qualifiés pour les quarts de finale de la coupe de l’Anjou, où l’on se déplacera sur le terrain de l’US Beaufort-en-Vallée, une équipe qui évolue en Régional 3. Et ce qui est clair, c’est que l’on a tous envie d’aller au bout. Je ne vois pas trop de points à améliorer, nous avons subi, je pense comme tous les clubs, des absences aux entraînements, en décembre-janvier, et peut-être que nous avons trop profité des absences et des blessures de certains joueurs pour ne plus trouver l’intérêt de s’entraîner. Mais nous n’avons pas le droit à ce relâchement, au vu des infrastructures du club et du plaisir que l’on prend à l’entraînement quand tout le monde s’investit. Nous l’avons payé avec un match nul et une défaite en championnat pour ce début d’année 2020 (match nul à Aizenay France (1-1) et défaite à domicile face au CA Evron (2-3)). Maintenant, on se doit d’enchaîner les bons résultats pour rendre la fin de saison agréable en championnat et en coupe.”

Parlez-nous un peu de la vie au club, de l’ambiance dans le vestiaire ?

“L’ambiance au club est très bonne entre les soirées organisées, les repas, l’apéro des coachs en cas de triplé des seniors. Dans le vestiaire, c’est plutôt calme quand Tanguy Davy n’est pas trop excité. On met un peu de musique et chacun rentre dans son match comme il le sent.”

A ce sujet, que pouvez-vous nous dire sur votre entraîneur et sur vos coéquipiers ?

“Je pense que pour le plus chambreur, on est tous d’accord, c’est le coach, il suffit d’arriver en retard aux entraînements pour assister aux premières punchlines de la soirée d’Alban. Le plus superstitieux, je dirais Kevin Carteron, vous lui donner une chasuble rose, vous êtes sûr qu’il ne gagnera pas un match à l’entraînement. Il en fait même perdre son équipe. Je t’aime (rire). Le plus en retard, je dirais Bryan Gibralta. Enfin, quand P’tit Louis (Louis Besnard) n’est pas convoqué, car là, c’est du super niveau. Les gendarmes le “contrôlent régulièrement”, le dimanche matin, alors il arrive en retard. Et le plus beau, c’est Kevin Moulin. S’il est bien habillé le vendredi, tu sais que cela va finir tard, ou alors Tanguy Davy, bonnet-claquette.”

Avez-vous des projets d’évolution dans le club ou ailleurs ?

“C’est vrai qu’une pseudo-carrière de footballeur amateur, cela passe très vite. J’ai vingt-huit ans et j’aimerais… (Connectez-vous pour lire la suite ou abonnez-vous en cliquant sur ce lien).