Coupe de l’Anjou, 3e tour.

Durtal Aiglons (D1) FC Villevêque-Soucelles (D2) : 3-2 (MT : 2-1)

Buts : (6e), (20e) et (78e) ; Ludovic BOEHM (36e), Jérémy PEAN (55e) pour le FC Villevêque-Souvelles.

Le résumé du match :

Pour le second week-end consécutif, le match démarre mal pour Villevêque-Soucelles, puisqu’ils encaissent un premier but dès la 6e minute, suite à un ballon joué dans le dos de la défense et à un centre en retrait conclut par Durtal, malgré un contre sur la ligne de Yohann Berrué, revenu défendre à l’arrachée (1-0, 6e). Puis, Durtal va obtenir un penalty plus que généreux, l’attaquant n’étant pas en situation de marquer, il se prend le pied dans le défenseur adverse. L’arbitre accorde le penalty. Murcy part du bon côté, touche le ballon, mais il rentre quand même dans le but (2-0, 20e). Sur la seule occasion de la première mi-temps, Valentin Dohy lance en profondeur Ludovic Boehm, qui frappe sous la barre (2-1, 36e). En seconde période, Villevêque va tenir un peu plus le ballon et être plus présent dans le camp adverse. Jérémy Péan, étant plus prompt que la défense adverse, va récupérer le ballon et conclure son face à face (2-2, 55e). Durtal va toucher deux fois la barre, sur des centres repris de la tête et Villevêque aurait pu bénéficier d’un penalty pour une main dans la surface. Puis sur un corner renvoyé par la défense villevêquoise, le latéral droit de Durtal hérite du ballon à vingt mètres, amorti le ballon de la poitrine et envoie une volée puissante qui trompe le gardien de but (3-2, 78e).

La réactions d’après-match de Jérémy PEAN (entraîneur du FC Villevêque-Soucelles) : “Nous subissons une défaite ni logique ni illogique. Nous avons bien réagi par rapport à la semaine précédente dans l’impact et les duels. Nous avons montré que nous avions envie, mais nous avons pêché dans le jeu par manque d’automatisme et de rigueur dans les déplacements. Il faut dire qu’en ce moment, les joueurs se mettent au service de l’équipe et ne jouent pas forcément à leur poste. Nous faisons face à des blessures et à des absences répétées, cela n’aide pas à avoir un collectif structuré et habitué à jouer ensemble. Malgré tout, le contenu n’est pas que négatif et avec les efforts et l’implication de chacun, des résultats meilleurs viendront par la suite.”